Plusieurs jours après la catastrophe du 25 janvier, les chances de retrouver vivantes les 288 personnes toujours portées disparues sont de plus en plus minces dans les boues charriées à la suite de l’effondrement du barrage. Le drame, qui a déjà fait au moins 65 morts, continue de provoquer colère et inquiétude dans le pays, alors que les conséquences écologiques pourraient s’avérer lourdes.
Notre envoyée spéciale Anne Vigna et le photojournaliste Avener Prado se sont rendus à Brumadinho et à Itibari.
Voir les contributions
Réutiliser ce contenu