Google Plus est bien vivant, et ses utilisateurs le prouvent

C’est assez drôle ce qui se passe depuis hier en début de soirée sur un de nos derniers billets. Intitulé Google Plus, l’échec se confirme, il revenait sur des chiffres faisant état d’une très faible activité sur le réseau social de Google. Rien de nouveau, les privates jokes sur le manque d’activité sur Google Plus ont commencé quelques semaines seulement après sa sortie.

 

 

Ce n’est certes pas la meilleure infographie présente sur ce blog, mais les chiffres qui la composent sont tirés d’une étude du très sérieux Comscore que nous avions déjà publié. Et le constat de la ville fantôme a bien tourné : Le Monde, Le Figaro, Mashable ou le Washington Post, pour ne citer qu’eux. Oui mais… Le fait qu’il y ait moins d’activité que chez ses concurrents ne veut pas dire qu’il n’y en a pas du tout. La preuve avec une opération montée hier sur le réseau social, qui avait pour but de prouver que Google Plus est plus que jamais actif. Plusieurs membres ont commencé à lancer des appels au +1 sur l’article en question pour que le nombre de partages Google Plus dépasse ceux de Twitter et de Facebook. Et cela a vite fonctionné… 100, 200, 300 +1 sont arrivés en cours de soirée. Ce matin, nous avons dépassé les +500 et cela continue. L’article a même longtemps été numéro 1 des recommandations de lecture de Google Plus… Impressionnant !

 

Tout d’abord, Maurin et moi nous excusons pour le titre mal choisi et l’angle du billet résolument pessimiste. C’était maladroit, et je comprends que ceux qui l’utilisent peuvent l’avoir mal pris. Ce qui est bien, c’est que cette affaire aura permis de tirer quelques enseignements et de lancer le débat. Je dis bravo pour la réaction, c’est une belle démonstration de force pacifiste. Se faire entendre à coups de +1, c’est quand même plus agréable et efficace que de troller et d’insulter. La plupart des contestataires ont joué le jeu, exprimant des avis fouillés et détaillés accompagnés de retours d’expérience. Il y a bien eu quelques trolls, mais c’est le cas à chaque rassemblement de foule, même virtuelle.

Voici ce que je retiendrais de cette histoire et des réactions qu’elle a engendré sur le réseau social de Google (et oui, j’ai tout lu).

  • Google Plus n’est pas mort. Au contraire, il vit à son rythme, décalé par rapport aux autres réseaux sociaux. La forte intégration des services de la galaxie Google (comme indiqué dans le billet d’hier) offrent simplement une utilisation différente.
  • Les utilisateurs de G+ en ont marre (vraiment) que les blogs, médias et autres rédacteurs enfoncent leur réseau à coups de chiffres négatifs. Et pointent du doigt un élément fondé : le fonctionnement des cercles privés qui « cache » une grande partie de l’activité réelle.
  • Comme sur tout réseau social, il existe une communauté de harcore-users sur Google Plus. A la manière d’un bon match PC vs MAC, ils prennent fort à coeur ce qui se dit sur leur réseau préféré, tout comme une autre population (dont je fais partie) le fait sur Twitter. Et autant vous dire que ceux-ci ne sont pas fans de Facebook (moi non plus au passage). Mais vraiment pas.
  • On n’est pas obligé d’insulter et de troller pour se faire entendre. L’organisation de la communauté Google Plus sur ce coup-là est un bel exemple, bien plus efficace que le mépris.

  • La communauté Google Plus a l’air très soudée, réactive et partageuse. Pas vraiment le même public que sur les autres réseaux sociaux, cela donne envie d’y passer plus de temps.
  • Échanges plus poussés, vie privée respectée, pas de volonté commerciale… Les utilisateurs de Google Plus savent pourquoi ils l’utilisent, et pourquoi ils ont déserté les autres réseaux sociaux.
  • Google Plus compte plus d’utilisateurs actifs que Twitter. C’est sans doute l’information qui est le plus revenu, et j’avoue être passé à côté. Plus d’informations ici.
  • Google Plus vient tout juste de fêter ses un an, il est trop tôt pour tirer des conclusions. C’est vrai. Wait & see. Sans compter que Google a une puissance de feu importante et que ses prochains développement devraient aider G+ à prendre de l’ampleur.

Au final, je pense que la population utilisatrice de Google est simplement très différente de celle qui utilise les blogs, Twitter et les autres services générateurs de trafic et de bruit. D’où notre sentiment à beaucoup d’un espace déserté, puisque notre écosystème fermé a décidé de ne pas le rejoindre pour cause de manque de temps. Bref, toutes mes excuses à la communauté Google Plus, et rien ne dit que je ne vais pas m’y mettre plus sérieusement dans les semaines qui arrivent. D’autant que mon test de Google Plus sur iPad a été plus que concluant, l’application est excellente. Et si tous les internautes pouvaient avoir ce genre de réactions quand ils ne sont pas d’accord, on aurait moins souvent de points godwin ! Chapeau bas, et à bon entendeur…

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35 commentaires
Commentaires (35)
  • ivanoff

    Haaaaa 🙂 Beau constat !

    Je ne suis pas un utilisateur avancé de Google+, plutôt un utilisateur curieux (mais déçu pour le moment, je n’y ai pas trouvé ma communauté comme je l’ai sur Twitter)

    Mais je crois en son potentiel, vu la puissance de Google et l’intégration parfaite de ses outils
    Je n’avais pas vu ce petit appel au +1, j’avais fait le mien de façon plus automatique avec ce bouton amélioré dernièrement.

  • reichert

    Même si ce billet semble manquer d’objectivité, je trouve intéressant de revenir sur ce fameux constat d’échec 😉

  • Meh

    Félicitation pour la réponse, et merci de montrer que l’on existe =)…

    Par contre, méfiez-vous : la communauté G+ est effectivement active, mais totalement fondue 😀

  • Guillaume_GG

    Google + ne compte PAS plus d’utilisateurs actifs que Twitter. Pour affirmer cela Google a comptabilisé toute l’activité des utilisateurs Google ayant ouvert un compte Google+, ce qui donne :
    – tu vas voir une vidéo de chat sur Youtube en étant loggué sur Google ? Tu es un utilisateur actif Google +
    – tu vas voir ton Gmail ? Tu es un utilisateur actif Google +
    – tu fais un +1 quelque part ? Tu es un utilisateur actif Google +
    – tu fais une recherche sur Google news ? Tu es un utilisateur actif Google +

    Donc non, tant que Google ne daignera pas publier de véritables chiffres d’activité, on ne peut PAS affirmer que G+ a davantage d’active users que n’importe quel autre réseau social, pour la simple raison qu’on a aucune idée du nombre d’actifs véritable.

  • Winael

    Juste, pour info. Faire gaffe aux « chiffres ». Beaucoup de contenu n’est pas partagé en public mais via des cercles et donc n’apparaissent pas dans les chiffres. Pour ma part G+ est plus chronophage que mes autres réseaux sociaux, et l’ajout des events est une vrai killing feature

  • Guillaume_GG

    J’ai oublié de préciser la source de mes dires, sur ce blog du NY Times :
    http://bits.blogs.nytimes.com/2012/03/06/google-defending-google-plus-shares-usage-numbers/

    7ème paragraphe:
    « Although these numbers sound impressive, the catch is that Google Plus-enhanced properties include YouTube, the Android Marketplace and Google.com, the company’s flagship search engine. Yet Google contends that these numbers illustrate that more than 100 million people have signed up for a Google Plus account and are now actively engaging with Google Plus-related products across the company. »

  • Lò-mc

    Une grande qualité est de savoir revenir sur ses erreurs de jugements. Un gros +1 pour Le Blog du Modérateur 🙂

  • Hubert Lambin

    Belle réaction, bravo.

    Ivanoff, pour moi, la meilleure façon de s’intégrer dans G+ c’est :

    1) chercher des membres qui partagent les mêmes centres d’intérêts que nous et les placer dans ses cercles,
    2) discuter sur leurs posts en cherchant à apporter quelque chose / ou s’intéresser pour chercher à en savoir plus,
    3) partager ou créer les posts qui nous plaisent, au début sans trop espérer de retour

    C’est au fur et à mesure des échanges et petit à petit que les autres nous placent dans leur cercles, que l’on devient visible (nos posts sont présents dans le flux pour de plus en plus de monde) et que la réciprocité peut enfin s’appliquer.

    Sur G+ on trouve de tout : des gens qui partagent de la musique, des blagues, des posts engagés, de l’information à commenter, il y a moyen de trouver son bonheur.

  • Sylvain

    Le problème de Google +, c’est justement ce que ivanoff sous-entend par « je n’ai pas trouvé ma communauté ».

    Quand un nouveau service débarque sur nos écrans – a fortiori un réseau social – il faut tout réapprendre, tout reconstruire. Le soucis avec Google +, c’est que cette phase d’apprentissage est autrement plus fastidieuse que sur un bon vieux twitter : allez expliquer le principe des cercles à vos parents…

    Du coup le frein de la première utilisation est très fort, puisque pour avoir du contenu pertinent sur les réseaux sociaux structurés en « newsfeed », il faut le construire, justement, ce fil d’actu. Il faut suivre les bonnes personnes, affiner ses cercles, se rendre compte que ça ne va pas, recommencer, etc.

    On galère depuis 4 ou 5 ans avec twitter à follow/unfollow pour avoir un rapport informations utiles/futiles optimal, personnellement j’ai la flemme de recommencer…

  • Bertrand

    Je ne suis pas certain que l’on puisse parler « d’une » communauté Google+. Là encore chacun forme et participent à celle(e) qui l’intéresse. Le fait qu’il y aie moins d’utilisateurs actifs protège aussi sûrement beaucoup et favorise des comportements responsables, virtueux, cordiaux.

    Une augmentation de l’utilisation et de la visibilité globale va probablement amener les mêmes travers qui sont souvent dûs à la masse. Voir Pinterest pour s’en convaincre, mais se rappeler aussi d’une époque où Facebook était fermé, ou Twitter n’était pas sans cesse à la une des journaux, et où les trackbacks avaient encore un sens sur les blogs.

    Sinon, dire que la population est différente est probablement erroné. Je penche là encore pour une question d’utilisation. Je retrouve sur G+ les mêmes personnes mais le fait de se sentir dans une bulle change probablement l’utilisation, le partage différent. Certains avaient tenté de trouver ce sentiment sur Path par exemple, sans trop de succès, et reviennent voir G+.

    Enfin je pense que ceux qui disent que G+ est mort sont sûrement ceux qui ne l’utilisent pas. Pour l’utiliser plus régulièrement depuis quelques temps, je constate que petit à petit de nouvelles relations et habitudes se tissent et que du trafic se génère.

  • Richard Degenne

    Je suis tout à fait d’accord avec le fait que G+ est arrivé bien trop tard par rapport à Facebook ou Twitter. Ça a été très préjudiciable, pour ne pas dire fatal. Pourtant, en termes de fonctionnalités ou de présentation, Google+ est bien mieux réalisé que ne le sera jamais Facebook. Enfin, ce n’est que mon humble avis.

  • Mithraw

    Il fait réponse a un billet qui manquait aussi d’objectivité, mais dans l’autre sens 😉
    Ca équilibre ^^

    Néanmoins il y a beaucoup de vrai dans ce dernier post.

    On fait dire ce qu’on veut aux chiffres, que ce soit dans un sens ou dans l’autre.

    Et la communauté G+ est pour l’instant différente des autres (de mon point de vu)

  • conseil en gestion

    Le potentiel de Google est énorme, mais pour l’instant Google+ reste un réseau peu utilisé.
    Je reproche à Google+ sa faible ouverture aux autres réseaux : Google accepte de partager ses posts vers les autres mais moins l’inverse. L’ouverture commence sur les pages personnelles mais pas sur les pages pro !
    Pour l’instant, je n’ai trouvé que scoop.it pour partager une info sur G+.

    (si vous en avez d’autres je suis intéressé)

    http://www.scoop.it/u/ouestgest

    Mais je pense que la montée en puissance va être rapide désormais, un peu comme celle de Twitter en France.

    OuestGEST – Conseil en gestion des PME
    Membre de la Chambre Professionnelle du Conseil en Bretagne breizh-conseil, et de l’Association Française des Crédits Managers AFDCC

  • mike

    Le problème avec G+, c’est réservé uniquement aux possesseurs d’un compte Google, ce qui n’est pas le cas avec d’autres réseaux sociaux.

    L’avantage avec G+, peut-être pllus intrusif avec vos données personnelles, mais mais envahissant que Facebook.

  • bob279

    Maintenant il y auras une augmentation des utilisateurs sur google + . Je me demande si c’était pas un coups déjà préparer, bonne façon de faire entendre google + . Par un utilisateur de google +

  • Metal3d

    Une petite réponse à Guillaume_GG qui a raison sur un point, mais qui mérite une précision à mon sens.

    Certes, Google inclut dans ses chiffre Youtube et Android Market place. Ok, mais cela s’équilibre avec FaceBook qui a ses services inclus.

    Si tu ne prends que les chiffres G+, tu n’a là qu’un service de message micro blogué, or FaceBook inclu un service de mail, de jeux, applications utilitaire et vidéo… Avoir un compte Google (gmail et accès services G+) doit donc inclure toutes les offres relativement équivalentes à FB.

    En ce qui concerne Twitter, c’est une autre affaire, mais il est bon de noter que la croissance d’utilisation des service Google est bien plus importante dans le même laps de temps que Twitter.

    Tout ça pour dire que je pense que tous les chiffres ne veulent pas dire grand chose, et que je trouve dans les services Google plus de qualité et d’intérêt que chez Twitter ou FB, pour ma part.

  • Lucie

    Google + n’est pas mort, il a trouvé son public, qui n’est pas celui espéré au départ par Google… Quand meme un semi-échec pour le réseau social qui devait concurrencer Facebook, mais on ne peut pas leur reprocher d’avoir essayé, et qui sait la guerre n’est peut être pas encore perdue !
    En tout cas les utilisateurs ont eu une belle réaction, pacifique et efficace, bien joué !

  • balmeyer

    De mon côté, il y a eu le fait aussi qu’au lancement de Google+, les gens « venaient de twitter » pour tester. Et comme humainement il est dur d’être actif sur plusieurs réseaux sociaux, les gens sont naturellement partis aussi vite qu’ils sont venus. Les « twittos » d’origine ont vu leur cercle fondre, leurs contacts rester muets, d’où cette impression de désert.

    De mon côté, je fais toujours des blagues sur le calme épatant de G+, mais une autre utilisation est en train de se dessiner qui – fort logiquement – complète au lieu de doublonner Facebook/Twitter : échanges avec la famille, partage photos, discussion « tranquille » dans des cercles, etc.

    Ce qui va maintenir en vie ce réseau, en marge des gros acteurs, c’est bien sûr la forte intégration aux services Google (mail, calendrier, photos, etc)

  • Gilles Le Corre

    Communauté différente, c’est certain. Pour ma part, le simple vocabulaire infantilisant utilisé par les autre réseaux «dits sociaux» m’aura d’emblée découragé d’y aller voir de plus près. Google plus semble vouloir prendre ses utilisateurs pour des adultes pensants et capables d’assimiler des règles et une syntaxe simple sans avoir recours à des symboles affectifs et émotionnels puérils pour ce faire. Lorsque les portes d’entrées s’ouvrent sur ce réseau – il faut pour cela se donner un peu de peine, et ça aussi ressemble davantage à une marque d’estime que la démarche inverse consistant à offrir un cadre tout fait allant au devant des désirs réels – l’utilisateur peu très vite se relier à plusieurs groupe d’affinités. Mon expérience est celle d’un utilisateur moyen et récent, relié cependant très rapidement à des utilisateurs de nationalités extrêmement diverses, en général plutôt cultivés (usage de l’Anglais quasiment obligatoire, plaise ou pas), et, sans que j’ai eu réellement conscience d’un tri, ciblés sur mes centres d’intérêts. En résumé, vu de mon écran, Google plus paraît un lieu de convivialité habité généralement par une population motivée, non oisive, réfléchie et engagée, ce qui expliquerai son fort taux de participation ainsi que la réaction à votre article.
    Cordialement.

  • cybik

    Je te corrige, ça c’est pour le décompte des utilisateurs au total. Il y a eu un point d’info dans le keynote 2012 qui séparait les utilisateurs actifs des utilisateurs « activés », genre tout ce que tu viens d’énumérer.

  • cybik

    NYT, daté de Mars. Il y a eu de nouvelles informations depuis.

  • Jean-Marc

    Je trouve sur Google+ des post bien plus détaillés et passionnés que sur Facebook par exemple. Google+ ne sert pas à montrer les photos de ses enfants à ses amis, mais à rencontrer des gens qui partagent les mêmes centres d’intérêts. En tout cas, en tant que développeur, G+ comble bien mes attentes. En plus, c’est complètement intégrés aux autres services Google que j’utilise.

  • Droup

    Voici un très bon article, et je souhaite féliciter son auteur pour s’être auto-critiqué, et avoir cherché à comprendre, la raison qui nous pousse à utiliser G+.

    Tout comme j’ai partagé le premier lien hier soir, je viens partager celui-ci à l’instant.

    Je vous conseille fortement de faire un plus grand tour sur G+, d’y faire des recherches de vous hobbys, et de s’enregistrer aux flux des personnes qui vous semblent intéressant, et avec qui vous pourrez discuter et partager des expériences.
    La flux « Découvrir » est aussi une mine d’or, où vous pourrez croiser des personnes, qui proposent des choses, que de vous même, vous n’auriez pas cherchées.

    Une fois que vous aurez du monde intéressant, dans vos cercles, vous vous rendrez compte, que le réseau et loin d’être mort, mais qu’en plus, on peut découvrir des personnes partageant les même loisirs.

  • olivier

    J’adore facebook, mais ces derniers temps ce réseau me gave. Il y a trop de news débiles .des pubs, et quand on post un statut, il se noie aussitôt dans le flux pour rester la plupart du temps inaperçu. Le même post sur g+, avec 1/10e de moins d' »amis », il y a un petit débat qui se crée. G+ offre autant d’importance aux commentaires qu’au post lui même. Régulièrement il y a des débats d’une 100e de réactions avec des arguments bien exprimes. Alors que facebook fait soit un carton pour une personnalités avec 5000 réactions, soit presque rien.
    Et il faut aussi regarder les fonctionnalités. C’est epatant l’usage de G+.
    La logique des cercles correspond plus a la réalité que le monde des bisounours de fb.
    Bref. C’est un petit réseau, sur les chiffres,mais de qualité. (Inchiffrable)

  • romain

    Bonjour !
    Bon article ! J’ai lu le précédent aussi et j’ai participé à l’effet sur le réseau à coup de +1 et de petit commentaire.
    Il est vrai que au final tout ces réseaux sociaux se différencient et chacun y trouvent son compte.
    Twitter est celui que je vois comme le plus professionnel, le plus sérieux ( même si on peut twitter juste pour délirer entre pote ! )
    Je n’ai pas de contact dessus, je twitt pas trop ( je suis ni blogueur, ni journaliste ni personnalité !). mais pour suivre l’actualité en temps réel, suivre sa personnalité préféré, un politique, blogueur ou autre. C’est pour le moment le must !

    Facebook que je n’apprécie guère est très peuplé c’est vrai, mais ce qu’on y trouve manque de qualité je trouve ( pas de post très intéressants, des status sans intérêt mais c’est encore là où j’ai le plus d’amis ). Mais dans tout ce monde au final, on est assez éloigné.

    G+ avec une petite communauté, on est plus proche des gens je trouve, et surtout je trouve les gens plus sympathiques, plus réfléchi et avec plus de savoir vivre.

    On va voir comment tout ça évolue ! Déjà les jeunes plutôt que de suivre sur Facebook commence à migrer plutôt sur twitter selon une dernière étude !

    @++

  • Popy

    Tien, un (petit) mea-culpa. C’est rare de nos jours dans la presse.

    Bon courage à l’auteur pour son futur test de g+ 🙂

  • jyv

    Point intéressant, l’article confond effective Communauté et Plateforme.

    Le point fort, c’est que c’est plus facile de découvrir que de se retrouver.

    Sinon, Sylvain vient on fait un cercle du LOL sur Google+ et on le partage au monde entier.

  • Jonathan Girouard

    Je suis un peu comme ivanoff en tant qu’utilisateur curieux plus qu’avancé.

    Je me suis engagé ces dernières semaines à m’en servir + (haha concept!).

    J’espère seulement qu’ils sauront comment rendre ce réseau différent des autres, car pour l’instant je ne suis vraiment pas convaincu. Quand je parle de différent, je parle d’options autres que la toute nouvelle option : événement !

    WOW! Come on…

  • Le Lutin

    Amusant que je tombe sur ce post le jour même où je délaisse un peu fb pour partager mes images plutot ici !

  • Antoine Laquestion

    Il y a donc au moins 500 utilisateurs de Google dans les pays francophones. A rapprocher du nombre de salariés de Google France ?

  • Emmanuel

    Il faut aussi se réveiller et se rendre compte que Google+ devient très utilisé aux États-Unis ou au Canada… notamment par des communautés précises (photographes).

  • thierry bouhier

    Intéressant cette petite mise au point,bravo à tous!!!! : la qualité des commentaires de la communauté m’a encore un peu plus conforté dans mon choix de G+, car ce sont bien des critères d’ exigences d’un produit plus performant en terme d’information, de rapidité de consultation et de respect de la vie privée qui nous l’ont fait choisir…Il fallait bien un article comme cela pour que les gens qui aiment tant être tranquilles participent à une discussion d’ampleur…Merci Fabien de cette réponse, nous comptons sur vous pour accompagner l’évolution de Gmail et nous faire partager vos analyses de « notre » communauté, résolument atypique.

  • tissiraraoul

    depui plus de 5ans jai etait toujours fidele a google comme une personne ou un responsable je l aime.rien dotre et jait un fort sentiment qui nous aime lui aussi malgre touts ce en fait///
    vive google et que son amour soie vrait .merci ////tissiraraoul

  • Patrick

    Google + bénéficie d’un énorme avantage: le moteur Google. Il est clair que pour les entreprises ou professionnels, une bonne activité sur Google+ permet d’accroître sa visibilité. Pour l’aspect communautaire et engagement, il faudra attendre un peu, mais G+ est récent, donnons-lui le temps…

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