Semaine spéciale Noël oblige, nous revenons sur l’un des symboles marquants de cette période : la trêve des confiseurs. Cette période rime souvent avec retour aux sources, famille, hiver… Pour Sir Guy, cette trêve n’existe pas puisque les matchs s’enchainent en Premier League. D’autres au contraire ont appliqué au pied de la lettre la trêve des confiseurs et ont abusé de la dinde, de la bûche, du mac do et du KFC… en voici un 11 type.

Jeroen Verhoeven : Paul Verhoeven a réalisé Robocop, Total Recall, Basic Instinct, Starship Troopers…  Jeroen, gardien remplaçant  à l’Ajax d’Amsterdam, fait croire aux femmes qu’il est son fils histoire de choper. Faut dire qu’avec son physique, pas facile de faire rêver les coiffeuses ou les esthéticiennes.

Hamada Jambay : Hamada était arrière droit à l’OM pendant que la frange d’Hélène Rolles était à la mode. Certains se souviennent de lui pour ses frappes de mules dont il avait fait sa spécialité. Il était surtout le seul joueur de l’OM de l’époque pour qui il fallait faire des shorts sur mesure.

Franck Dumas : Libéro à l’ancienne, Franck décrochait derrière son stoppeur pour mieux faire valoir sa vision du jeu, son sens du placement afin de compenser un manque criant de vitesse. Un joueur à l’ancienne qu’on imagine volontiers au troquet après les matchs durant sa carrière de joueur taper le carton, fumer des clopes et reprendre une assiette de charcuterie.

Ronald Koeman : Un prénom prédestiné pour celui qui a tout dévoré durant sa carrière de solide défenseur central : les ballons, les cages, les mollets adverses… Mis à l’honneur par la rédaction dans le 11 nazi, certaines mauvaises langues auraient rebaptisé ce rugueux défenseur « charnier central »…

Jan Molby : Ce footballeur danois est une légende des années 80 à Liverpool. Récemment invité d’une émission, il aurait déclaré que « saucer, c’est tremper »

Tomas Brolin : Tous ceux qui ont collectionné les Panini de l’euro 92 se souviennent de ce nom. Joueur talentueux, Tomas rayonnait dans le rond central mais n’avait pas la force d’en sortir.

Titi Camara : Désormais ministre des sports de la Guinée, Titi est connu comme étant le plus gros « boul » de l’histoire du foot. Lorsque Titi démarrait sur son côté gauche rien de pouvait l’arrêter, pas même les panneaux publicitaires. Guy lui rend hommage chaque week-end en enfilant son plus beau pantalon moulant pour regarder les matchs. Mesdames, le rêve est parmi nous.

Ailton : tout moulé dans son maillot, Ailton a pourtant mystifié de nombreuses défenses durant son parcours en Bundesliga. Il a largement préféré les années où le maillot du Werder avait les rayures verticales.

Jean Claude Darcheville: Poids de forme 78 kg pour 1m72. Il semble sur cette photo qu’il ait mangé Pascal Feindouno…

Ronaldo Nazario Luiz de Lima : Il fallait bien que tout ça rentre dans un même corps. Au fur et à mesure de sa carrière, le génie carioca a épaissi son volume de jeu et son volume tout court. A l’image de la couleur de peau de Michael Jackson, il parait que sa prise de poids est due à une  maladie. Comme le King of Pop, sa fin de carrière est pathétique. Il ne méritait pas ça. De peur que ce soit une malédiction, son homonyme portugais ferait 3 000 abdos par jour dans son penthouse…

Adriano : Plutôt que de parler de doublette brésilienne en attaque, mieux vaut parler de doublon, voire même de tromblon pour ce gros Adriano. Star milanaise puis Thon à la Romaine.

GUYGUY POP

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